~ Je suis né à Liverpool, le 14 Mai 1983, un jour de bruine fine. Mes parents, James et Anna travaillent tous les deux. Maman est la patronne d’un restaurant et père est œnologue. Tous les deux de simples moldus. Je suis l’aîné de trois enfants. Derrière moi, Lena, d’un an ma cadette, puis Justin, de six ans mon benjamin. Nous sommes une famille soudée, simple, sans histoire, vraiment.

~ Très vite, je suis allée à l’école. Tous les soirs nous avions une nourrice, nos parents étant trop occupés en semaine. C’est elle qui nous emmenait à nos activités extrascolaires. Je faisais volley, pour ma part. Nos parents étaient très stricts concernant nos notes, qui devaient être au dessus de la moyenne. Cependant, c’était aussi des parents aimant, doux et compréhensifs, qui ont toujours parlé avec nous avant de chercher la moindre punition. J’ai eu une enfance heureuse, je n’ai pas à me plaindre sur le sujet.

~ Puis, mes pouvoirs magiques ont commencé à apparaître, et là, tout a commencé à changer. Ma mère et mon père sont des sceptiques. De gros sceptiques. Au départ, ces manifestations n’étaient pour eux que des enfantillages, après tout, je n’avais que huit ans. Et moi… Je me cachais. Je ne voulais pas être l’enfant anormal de la famille. Et je devais protéger mon frère et ma sœur. Jusqu’à ce que ma sœur en manifeste également. Ils ont dû ouvrir les yeux et revoir leur jugement, l’un comme l’autre.

~ A mon entrée à Poudlard, j’ai pris conscience qu’un monde nouveau s’ouvrait à moi. J’ai été réparti à Gryffondor, rien d’étonnant lorsqu’on me connaît. Je me sentais protégé dans cette école. J’y ai de bons souvenirs. Ethan restera gravé dans ma mémoire jusqu’à la fin de mes jours, grâce aux excellents moments que nous avons passé ensemble.

~ Lors de la bataille de Poudlard, un mangemort a tué mon ami sous mes yeux. Cela m’a poussé dans la dépression. J’en sors tout juste.

~ Il y a peu j’ai décidé d’aller vivre à Atlantis. Un endroit où l’harmonie et la mixité règne ne peut que me faire du bien.  Et l’ouverture de l’UPA, il y a deux ans, m’a clairement poussé à faire ce choix. Je veux participer activement à l’avancé de la médecine, et cette université m’en offre clairement les moyens. Alors autant aller jusqu’au bout ! Et j’espère pouvoir tirer autre chose de mes expérimentations que des baumes comme j’en ai fait à présent.