Sujet: Families are nothing other than the idolatry of duty. Jeu 7 Nov - 13:54 | |
| | | | | | | Arno Kvelgen | Informations civiles | Nom : Kvelgen | Prénom(s) : Arno | Date de naissance : 13/04/1982 | Âge actuel : 19 ans | Origines : Norvégien par mon père, français et britannique par ma mère | Occupation : Etudes en Sciences et Magie, spécialité Sortilèges et Enchantement | Alignement politique : Conservateur, actuellement indécis sur mon degré de rejet des moldus. |
| Informations Magiques | Statut de sang : Sang-pur, dont je tire une très grande fierté | Baguette : Crin de sombral, chêne rouge, 30 centimètres, inflexible. D'après mon livre sur les baguette, j'aurai donc une baguette douée pour les duels et la magie noire ayant reconnu un aspect conflictuel dans ma personnalité. La longue sous-entendrai que j'ai une personnalité expansive. Oui, en gros comme pour toute chose, entre la théorie et la pratique... | Patronus : Un hippogriffe, créature fière et violente, mais loyale quand on lui montre le respect qui lui est dû. | Épouvantard : Ma mère étendue au sol entourée de loups. | Miroir du Rised : Moi à la tête des Kvelgen, admiré de tous ses membres. | Ancienne école/maison : Poudlard, à la maison Serdaigle. Ce qui m'avait déçu à l'époque, moi qui voulait aller à Serpentard. À croire que même le choixpeau ne savait reconnaître mon vrai talent. Après vu ce qui s'est passé à Poudlard par la suite, ce n'était peut-être pas plus mal. | Idées Préconçues : Pour lui les sorciers devraient être prépondérants dans les décisions au niveau international. Les moldu profitent d'avantage du monde magique que les sorciers ne profitent du monde moldu. Les traditions magiques font le cœur du monde magiques et devraient être respectées. Toutefois les sang-pur ne peuvent à eux seul assurer la propospérité du monde magique car trop peu nombreux, il faut alors tolérer les mélanges avec les moldus, mais les sang-pur doivent rester dirigeant du monde magique. Ceux qui se battent pour une égalité entre moldu et sorciers sont responsables de la dégradation de la qualité de vie dans le monde magique. Les hommes devraient toujours et en toute circonstance être chef de famille ou du moins garder une place prépondérante dans les décisions et ne jamais être écarté. |
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Descriptions | Caractère & Informations
Sensible, Hautain, Hédoniste, Colérique, Loyal, Capricieux, Ambitieux, Âme d'artiste, Impatient, Déterminé, Flemmard dans les études, Honnête, Égocentrique, Sociable, Immature, Éloquent, Rancunier
| Opinions sur la Mixité
Il y a deux choses à séparer dans la mixité. La première est celle entre sorcier et moldu dans les relations humaine, ce qui existait depuis des générations. Cette mixité est nécessaire, rien que pour apporter plus de sorciers et assurer à notre monde une expansion permettant aux familles de sorciers originelles ou les sang-pur la prospérité qu'ils méritent. Il serait illusoire de tomber dans un monde où moldu et sorciers s'ignorent en tout temps. Puis il y a la mixité sociale et politique, celle de partager notre monde avec les moldu, laisser sa chance à tout le monde de se faire une place. Comment dire... C'est une crime contre la sorcelerie cette mixité qui est nuisible aux familles de sang-pur qui sont le cœur de notre monde. Je peux comprendre les arguments, mais comment se faire une place dans un monde mixte alors qu'il est déjà difficile de se faire une place dans un monde dominé uniquement par les sorciers ?
| Réputation
Je ne suis peut-être pas la personne la plus populaire qui soi, mais j'ai mon entourage proche, comme tout un chacun. Les gens me voient comme quelqu'un d'inaccessible sur bien des points, particulièrement colérique avec peu de retenu tant physique que verbale. Cela n'est pas totalement faux. Peu de gens voient ce que je peux être dans mes passions, comme avec l'Art et la Poésie. Je préfère qu'on me voit comme une brute insensible plutôt que comme un fragile qui s'intéresse à des choses de moindre importances.D'ailleurs, beaucoup voient que la réputation est importante pour moi, je suis souvent pointé du doigt comme quelqu'un d'ambitieux voulant faire ses preuves peu importe s'il faut écraser les autres ou non. On peut du coup me voir comme un fils d'aristo, opportuniste et arriviste. Le premier n'est pas totalement faux, mais je veux juste faire ma place. S'il faut se salir les mains je le ferai. Auprès de ma famille, j'ai une réputation de... Branleur... Et de profiteur. Je ne sais pas lequel est le plus insultant pour moi, mais les deux sont vrais. Je ne suis pas la personne la plus studieuse, ce qui me fait demander pourquoi j'ai été envoyé à Serdaigle, mais passons. De ce fait sur les études ils ont totalement raison. Pourtant, en dehors de ça, je fais tout mon possible pour montrer que je suis digne d'être membre de cette famille. Après comme on ne me laisse pas vraiment ma place, il est normal que je profite un peu de l'argent de la famille. Si je faisais des études de droits, je dirai que ce sont des dommages et intérêts pour préjudice morale. Chose que j'éviterai de dire à voix haute.
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Biographie | « Ouvre moi, Arno. Ne fais pas l'enfant. » Elle, c'était Jena. J'étais tranquillement assis dans ma chambre d'étudiant à fixer le plafond au lieu de travailler. Pourquoi je ne lui répondais pas alors qu'elle martelait sur ma porte depuis quelques minutes au point que j'étais surpris de la solidité de la porte ? Car je n'avais pas envie d'avoir cette conversation. Qui était Jena ? La dernière d'une longue liste de filles depuis Althéa. Une trop longue liste pour certains, une liste correcte pour moi. Cependant, face à la persévérance de Jena, je ne pouvais pas rester de marbre. Surtout parce que je n'avais pas envie d'avoir mal au crâne. Poussant un long soupir je me dirigeai vers la porte. Je l'ouvris d'un grand coup. « Quoi ? » avais-je dit d'un air blasé et lassé d'avance. Sans me demander la permission, elle entra ma chambre comme une furie. Jena était une sorcière de sang-mêlé, avec qui j'avais fait ma première année d'étude. Nos cours avaient divergé quand j'avais pris la spécialité de sortilèges et enchantements alors qu'elle s'était potion et je ne savais plus trop quoi. « Comment oses-tu ?! Une semaine sans nouvelle, rien. Tu m'évites... » « Oui et pourtant te voilà dans ma chambre, à croire que je me suis mal fait comprendre. » « Pour qui te prends-tu ?! » La réponse était simple, Arno Kvelgen, dernier fils de ma branche. Seul fils d'ailleurs. Pour beaucoup ce serait un réel bonheur, mais pas chez les Kvelgen. À cause d'une longue tradition, seules les filles étaient dominantes dans notre famille. Les mauvaises langues diraient que ce n'était pas une famille, mais un club sado-masochiste. Ceci dit, comme c'était une famille de sang-pur avec ses traditions, la comparaison était moins tenable. Bref, j'étais le fils d'une riche famille qui même si elle préférait les filles, faisait de moi un enfant gâté. J'avais ce que je voulais, tant que ce n'était pas le pouvoir, quand je le voulais. Et là je ne voulais plus de Jena. « Tu ne me mérites pas Arno, tu crois que tout t'es dû, l'affection, la loyauté, mais tu ne t'investis pas. Tu te pavanes sous tes grands airs, mais tu n'es même pas capable de reconnaître la chevalière de ta famille ! » Ah, le petit détail qui piquait. C'était pour ça que Jena m'avait tapé dans l'oeil. Sa culture. Elle connaissait bien les familles de sang-pur à défaut d'en être une elle-même. En effet, la chevalière que je portais n'était pas le symbole de ma famille, qui était deux corbeaux sur fond pourpre avec d'autres joyeusetés. Non, la chevalière que je portais avait elle une rosace colorée de rouge et de blanc. Symbole des Rosiers. « Tu ne sais pas de quoi tu parles. » « Oh je t'en prie Arno, je sais que c'est le symbole de ta mère, c'est tout ce que tu es, un fils à ta maman. Tu n'as aucune volonté, juste une larve heureuse d'être aimé par sa mère. Ça doit bien être la seule femme qui t'aime. » Sans réfléchir, je pris un vase sur ma table de chevet que je lançai vers Jena. Heureusement, le lancé avait été précis et frôla le visage de la jeune femme pour s'éclater contre le mur. « Ne parle pas comme ça de ma mère. Ne parle pas comme ça de moi. » Ma mère était un sujet sensible que cette salo... Cette fille n'avait le droit d'aborder. J'aimais ma mère du plus profond de mon cœur. Dans une famille dominée par les femmes c'était la seule qui n'avait pas cherché à me montrer que je ne valais rien. Elle avait toujours tout fait pour moi. Au point que le jour de son agression, je fus dévasté. Agression menée par Fenrir Greyback, un loup-garou qui était venu faire payer à ma mère son refus de rejoindre Voldemort. J'avais eu si peur de la perdre, que je m'étais promis d'un jour la venger.
« Pourquoi ? Sinon que vas tu faire Monseigneur Kvelgen, plus grand raté de Poudlard ?! » Je serrai les points, cela tapait vraiment sous la ceinture. On en était même à parler de mon passé à Poudlard ?! Sérieusement ?! D'accord, il n'était pas glorieux. Déjà on m'avait mis à Serdaigle alors que je voulais être à Serpentard, donc paye ta motivation. Je n'avais rien à faire à Serdaigle, flemmard comme j'étais. Tout ça parce que j'aimais me perdre dans les recueils de poésies, les peintures anciennes ou autres œuvres artistiques. Bien sûr, que serait la vie sans la beauté de l'Art ? Juste une suite de déception. C'était l'Art qui faisait que la vie valait la peine d'être vécue, car n'importe quelle peine de cœur devenaient une œuvre tragique justifiant chaque douleur passée par la beauté du message qui en résultait. Néanmoins, Serpentard était la maison qui me fallait, la maison des ambitieux, de ceux qui voulaient faire leur place. Et vu tous mes efforts pour me faire une place dans ma famille... J'aurais aimé que le choixpeau les reconnaisse, mais même lui me fit comprendre que je n'étais pas à la hauteur de mes ambitions. Après je faisais tout pour faire ma place dans ma famille... Oui, mais ça ne se voyait pas dans mes résultats. Surtout pas en 1995. J'étais en troisième année... Ou alors en quatrième, je ne savais plus. C'était l'année où ma mère avait été agressée. Alors peut-être que pour certains s'était des excuses, mais voir sa mère effondrée sur le sol, ce n'était pas vraiment la meilleure des choses pour avoir une enfance épanouie. Déjà qu'avoir une sœur comme Ella n'était pas vraiment ce que j'appelais une chance, si la seule bonne chose dans cette famille venait à disparaître... Il était bizarre que la seule bonne chose chez les Kvelgen vienne des Rosier. Bref, cette expérience avait toutefois fait grimper mes notes en sortilèges ainsi qu'en Défense contre les force du mal... Et tout ce qui concernait de près ou de loin le maniement de la baguette magique. Ah, ça devait être en quatrième année alors, c'était environ à cette période que les élèves, du moins les garçons, s'intéressaient d'un peu plus près à leur baguette, magique ou non. Bref, il était vrai que mes résultats en dehors de trois matières étaient médiocres. Mes BUSEs en avaient d'ailleurs attesté. Je n'avais pu prendre que cinq ou six matières de mémoire. Après ça restait bas de m'attaquer sur ça. D'ailleurs, tout mon parcours n'était pas un échec. Durant ma sixième année, durant la bataille contre Poudlard, j'avais eu le courage de choisir un camp. Pas celui que l'histoire de ma famille me destinait. Descendant d'un certain nombre de collabo, l'histoire de ma famille avec celle des nazi en Norvège le confirmant, on aurait pu s'attendre à ce que je rejoigne les Mangemort. Toutefois, j'avais fait l'exact opposé. Pas par conviction ou par noblesse d'âme. J'avais appris quelques jours avant la bataille qu'un certain Greyback travaillait pour un seigneur noir. Ce n'était pas la honte de la lycanthropie qui me poussait à me venger, ma mère était ma mère, je l'aimais quoi qu'il arrivait. Non, il avait juste blessé la seule personne que j'aimais plus que moi. Je voulais faire payer les responsables. Peu importait leurs idées, on ne blessait pas ma famille. Même pas Ella ou Sio. « Je te rappelle que j'ai eu mes ASPICs. Je ne dis pas être le garçon le plus intelligent du monde, la preuve je me suis intéressé à toi, mais arrête de monter sur tes grands chevaux. Je préférai quand tu montais... Sur autre chose. »
Sa main siffla l'air, le fendant un deux et rougissant ma joue. Je ne l'avais pas volé celle-là. « Et c'est parce que tu as brillamment réussi tes ASPICs que tes parents t'ont envoyé ici je suppose ? » Ok, un point pour elle. Je n'avais pas très bien réussi mes ASPICs, je les avais eus, mais la médiocrité des résultats accompagnés de ma tendance de plus en plus importante à dépenser l'argent de mes parents avaient poussé ces derniers à m'envoyer dans un lieu où Ella pourrait me surveiller. J'avais alors commencé mes études Science et Magie. Le truc ne demandant pas d'être excellent. Pourtant, excellent, je l'étais devenu dans certains domaines. Notamment en théorie de la magie et dans les duels. Cela m'aidait à passer mes nerfs sur les gens qui me provoquaient. D'ailleurs, ces quelques bonnes notes m'aidaient à pouvoir dépenser l'argent de la famille sans trop me faire taper sur les doigts. « Je me demande comment j'ai fait pour t'aimer... Tu n'es qu'un égoïste, arrogant, intéressé que par toi. » La colère qui montait depuis que j'avais ouvert cette porte ne faisait que s'intensifier un peu plus. La seule chose que je voyais ce n'était plus tant Jena, j'avais juste l'impression d'être devant Althéa, la fille avec qui j'étais sorti pendant quelques temps. Je l'avais vraiment aimé. Elle... Je ne savais pas. Ce que je savais en revanche c'était qu'elle m'avait trompé avec différentes personnes durant notre relation. Je ne savais pas le nombre, alors quand mes amis me demandaient, je disais que son tunnel accueillait encore plus de passagers que le tunnel sous la Manche pour les Moldus. Tous n'avaient pas la référence, mais tous comprenaient que c'était injurieux. Et le pire était que je n'arrivais pas totalement à la détester. « Arrête un peu Jena, tu n'es pas différente des autres. Tu me parles d'amour, mais la seule chose que tu aimes chez moi c'est mon nom de famille. T'es qu'une sang-mêlé qui cherche à bien se faire voir avec quelqu'un qui lui est supérieur socialement, car tu auras beau tout t'acheter tu ne seras jamais pure. » « Espèce de sombre raciste ! » « C'est ça, pars dans les gros mots. Je me moque de ce que tu penses de moi. Tu dis m'aimer mais j'ai toujours été comme ça. Tu me détestes, car je n'ai pas changé. Car je n'ai pas été comme tu le voulais. Mais tu es juste une grosse... Tu es juste comme toutes les filles tu parles d'amour, mais la seule chose que tu veux ce sont les apparences. Et comme les autres je ne serai pas surpris si tu t'envoyais ailleurs. » Jena ouvrit la bouche, mais aucun mot n'en sorti. Elle recula comme frappée en plein cœur, rougissant. Les seules femmes que je respectais vraiment se trouvaient chez les Rosier. Le reste était juste bonnes à me briser le cœur. « Arno... Jamais je n'aurai fait ça. Tu es un idiot. » « Mieux vaut idiot que cocu. On a pris du bon temps. T'as pu te montrer avec un bon parti, j'ai pu faire de jolie parties dans la chambre, maintenant je suis lassé, je vais passer à autre chose. » Elle recula près de la porte encore ouverte. J'aperçus quelques têtes qui écoutaient avec attention la dispute. « Tu sais Arno... Je suis venue ici en colère, te détestant. Mais en fait tu me fais juste pitié. Tu parles comme un adulte, mais penses comme un enfant blessé. Tu n'as pas grandi depuis Poudlard... » Je levai les yeux au ciel, ce qu'elle pensait je m'en moquais. Elle n'était pas de ma famille ni sang-pur, sa reconnaissance n'avait donc aucune valeur. « Oui, oui, c'est ça. Moi aussi, je te souhaite le meilleur du monde. Loin de moi. Si tu veux on se revoit dans un an pour nous rappeler au bon souvenir avant que je t'ignore comme ces dernières semaines. » Je la poussai d'une main en dehors de ma chambre et claquai la porte de l'autre. Enfin tranquille. Toutefois, à la fin de cette entrevue je me posais une grande question... Moi qui avais prévu de travailler toute la nuit sur les effets à long terme du sortilège Doloris ainsi que sur la gestion du Feudeymon... Vallait-il mieux que je sorte à l'Atlantease Club ou au Scottish Inn ?
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À propos du joueur... | | Prénom ou pseudo : Parménion | Âge : 23 ans | Célébrité sur votre avatar : Landon Liboiron | De quelle manière avez-vous trouvé le forum ? Alors, Solyne me l'a présenté, qui l'a elle même connu grâce à Charlie, du coup je dirai grâce aux deux ! | Avez-vous lu le topic dédié aux nouveaux joueurs (ici) ? Yep il a été très utile. Même si j'avoue que le forum est très dense, j'adore. |
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