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 Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle

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Adrasteia N. RosierAdrasteia N. Rosier
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http://www.catharsis-rpg.com/t283-adrasteia-n-raventhroneMessages : 1966 Points : 6186
Pseudo : Mie
Avatar : Zhenya Katava
Crédits : Mie
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Feuille de personnage
Lieu de résidence:
Patronus: Euplecte à longue queue.
Informations diverses:
MessageSujet: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyMer 28 Déc - 13:50

Adrasteia Nerium Raventhrone
Informations civiles
Nom : Raventhrone, pour les battements grossiers d'une aile aux plumes de fer, aux plumes voraces et frivoles d'un roi d'autrefois.
Prénom(s) : Adrasteia, épiclèse d'une célèbre nymphe aux origines Orphiques du nom de Nemesis. La nymphe de la justice, de la vengeance et de l'équilibre qui ne fait que saturer les aspirations d'une jeune femme aux idéologies titanesques ... « De qui on ne peut échapper ». Et de ses appellations, elle se fait chimère, vous effleurant de sa toxicité, marquant votre peau de ses charmes, la nerium qui se fait vorace des lauriers, qui ne se fait pas à fleur de peau, mais bien fleur bleue. Nerium, inspiré de l'amour d'une mère pour le Laurier-rose.
Date de naissance : C'est le 1er novembre 1978 que la petite Raventhrone poussa son premier cri, fendant le silence de la pièce de la même brutalité que la foudre qui déchirait le ciel depuis 2 jours consécutifs. Sa grand-mère avait insisté pour que sa mère respecte la tradition familiale quant à la naissance des Raventhrones, c'est donc en Russie qu'elle est née.
Âge actuel : 21 ans.
Alignement politique : Éduquée sous des discours radicalement méphitiques, la brune se laisse emporter par le mouvement de ses paires. Et si la peur semble mener ses faits et gestes, c’est bel et bien ses tendances possessives extrémiste qui la pousse à pestiférer ses paroles haineuses dans un sentiment de protection. Le Sacre constitue donc en quelque sorte son alignement politique.
Informations Magiques
Origines : Aussi glorieux que la renommée de ses ancêtres, la brune lève la tête bien haute pour représenter la douceur et la royauté d'un sang aussi propre que celui des dieux.
Baguette : Légèrement tordue, sa baguette se présente sous les couleurs du bois de pin, dont les majestueuses aiguilles lui transpercent la peau de leur fastidieuse solitude, s'épinglant contre les murs de pierres pour s'y décomposer en composant de nouveaux sortilèges informulés. La plume de queue d'un oiseau-tonnerre dont les cris vibrent d'instincts et de déterminations s'étendant sur 27 centimètres et d'une souplesse congru.
Patronus : L'euplecte à longue queue depuis quelques années déjà. Si Adrasteia avait été bien fière de voir le battement d'aile d'un corbeau dès sa première réussite du sort, maintenant elle observe mélancoliquement le long plumage de son nouveau patronus. D'une beauté éternelle et vaniteuse, cet oiseau porte également le surnom de veuve-noire et elle sait parfaitement que ce sort stupide est une mutinerie de son propre cœur qui essaie de lui rappeler les histoires du passé. L'euplecte représente entre autres les émotions, la protection, la beauté, la nuit, les fréquentations perdues et les agressions.
Épouvantard : La Baba Yaga, Légendes et histoires qui ont toujours hantées son esprit, alors que sa grand-mère avait pour habitude de lui raconter lorsqu’elle n’était pas sage. Une vieille sorcière revêtant plusieurs aspects serpentins, selon les histoires, qui mangeraient les enfants. Le traumatisme fut décuplé lorsque l’un de ses oncles la pourchassa dans la forêt lorsqu’elle avait 4 ans. La peur fut si poignante, dû à un sort d’illusion, que sa famille n’osa jamais lui révéler la supercherie. Mais si vous lui demandez, la Baba Yaga a bel et bien tentée de lui dévorer une jambe cette nuit là.
Miroir du Riséd : C’est sous les aspects d’une  petite famille que se miroite son plus grand désir. Un baiser déposé tendrement sur sa joue qui s’étire dans un sourire des plus comblé. Un fantasme qui terni son cœur au gré du temps. Ils sont là, tous les deux, prêt à dévaster le monde sous la puissance de leur union. Ils sont là, bien heureux, alliances scintillantes ornant leurs doigts alors qu’ils n’attendent que de descendre la grande allée de l’église pour enfin goûter le fruit de cette puissance qui se présente à eux.
Ancienne école/maison : Elle serpentait il n'y a pas si longtemps, délaissant les couloirs de Poudlard où elle affichait la suprémacie des verts, femme vipère qui ondulait au gré de son ascension. Elle abordait les couleurs du serpent, se faufilant d’un vert aux effluves de cyanures.

 
Descriptions
Caractère de votre personnage
 
De son trône la jeune femme aux cheveux d'ébène s'efforce de briser les murs de pierres érigés de par l'aristocratie dans un monde aux idéologies arrêtées. Parce que si l'on veut survivre dans de telles hypocrisies, il faut se faire violence, il faut se faire patient en foulant les terres immobiles d'un univers arriéré. Sa propre guerre, sa propre dynastie, ses propres portes de l'enfer aux dorures célestes et envoûtantes qui brûlent sans remords la paume de ses mains. Des aspirations qui s'élèvent jusqu'aux cieux, qui s'affaissent jusqu’aux fins fonds d'un abysse viscéral, tourmentant l'intérieur de son crâne. Parce que la brune tient ses démons en laisse, parce que la brune se fait fit de ses anges, s'écorchant la peau des genoux à vouloir ramper vers un avenir que l'on lui reproche d'aspirer. La grandeur est une notion que l'on attribue à la valeur du sexe, lui crachant au visage de mesquines répliques aussi dévalorisantes que sournoises. Et pourtant elle se fait jalouse, elle se fait cupide et envieuse, puisqu'il en est ainsi depuis sa tendre jeunesse. On tente de lui faire comprendre où est sa place et quelles sont les limites de son existence. Seulement, Adrasteia se morfond d'une incompréhension qui brave les tempêtes d'un sexisme universel, d'une inconsidération aberrante qui s'accentue de par les frasques d'un peuple qu'elle se tue à revendiquer les prestiges. Elle s'obstine à hurler ses talents d'une fierté qui lui est propre parce qu'elle, la sang-pur aux courbes féminines, ne laissera pas son avenir se décomposer en observant les hommes aux sang-bleu se délecter de positions vertigineuses de par les mérites d'ancêtres aux éloges rocambolesques.

Pourtant la femme au sang-extravagant s'essouffle à tant s'époumoner. Elle se fatigue à trop faire l'excessive, à s'offusquer d'une malédiction qui lui taillade la psyché sans trop savoir que faire. La disgracieuse se fait morose et dans un second souffle elle immerge un peu plus instable, un peu plus précaire. Et elle avance d'un pas boiteux tandis que l'injustice miroite au creux de ses prunelles d'un regard désinvolte. Elle perd la tête, elle se déplume le coeur à trouver sa place. Elle se terre sous des livres et s'isole parmi les plantes aussi fanée que son âme, ne laissant que les épines pour meurtrir ses propres valeurs. Nemesis de ses propres lésions, elle se brûle le bout des doigts à trop vouloir toucher les étoiles. La femme légion qui se fait volage, qui se fait sauvage d'une infortune importune. Elle est futée, mais pas assez pour ne pas se laisser tomber dans ses propres hystéries. L’anxiété se fait si oppressante qu’elle peine à ne pas laisser les traces de ses ongles frénétiques contre sa peau hâlée. Finalement, c’est avec déconcertement que l’on peut observer l’individualiste se perdre dans ses convictions. Elle se fait plus calme, plus secrète sans pour autant atrophier la rigidité des femmes de l’Est.


 
Informations importantes
 
Née d’un premier mariage entre deux familles puissantes d’Europe de l’Est, elle s’est vue grandir dans une famille des plus précaires. Suite à des complications médicales extrêmes, son père s’est laissé embobiner par les séductions de la jeune sœur de sa femme. Ainsi donc, deux petits garçons s’introduisaient dans sa vie sous le terme de demi-frères … qui sont également ses cousins propres. • Sa famille est propriétaire et fondatrice d’une compagnie productrice de diverses pierres précieuses. Elle se spécialise toutefois dans la création de diamants ensorcelés. Ces diamants de feu sont d’ailleurs l’une de leur marque de commerce malgré quelques scandales impliquant l’esclavagisme de dragons. Elle est principalement installée en Russie, mais fait des ravages sur le commerce européen depuis plus de 17 ans maintenant, sous l’aide de son plus grand allié : Karkaroff.  • Elle a vécue les 8 premières années de sa vie en Europe de l’Est avant de quitter suite à l’incident de Tchernobyl. • Après l’obtention de son diplôme, elle a disparut, sans que personne ne sache où ni pourquoi. Tout ce que l’on sait, c’est qu’elle est réapparut 3 jours après le décès de son père et de sa belle-mère, bien décidée à prendre le contrôle total de la succession des Raventhrone, supplantant les jumeaux. • Elle possède une collection impressionnante de poupée en porcelaine, complétement obsédée par la pâleur de leurs peaux. Elle était persuadée qu'elles étaient vivantes lorsqu'elle était plus jeune, renfermant des âmes perdues qui n'arrivaient pas à quitter les limbes. C'est une habitude qu'elle parvient difficilement à se défaire, parlant avec ses précieuses comme si elles étaient ses amies. • Elle se passionne pour les plantes en tous genre, son appartement regorgeant de Paeonia et de Nerium qu'elle chéris à chaque matin. Elle confectionne également des thés hallucinogènes dont elle étudie les effets des mélanges, dans l’optique où elle souhaite parfaire ses inventions et recherches. • Elle est toutefois extrêmement allergique aux roses. • Elle dort très peu, simplement parce qu'elle souffre de terreurs nocturnes. • Elle possède un corbeau qui n'est pas des plus agréables avec les étrangers. Atropos de son nom, il se fait extrêmement protecteur avec sa propriétaire. • Elle est très maternelle avec sa cousine, simplement parce que celle-ci souffre d'un léger traumatisme au cerveau, suite à la crise de violence qu'Adra eu lorsqu’elles étaient plus jeunes. Elle ressent bien peu souvent la sensation de culpabilité sauf pour cet épisode dont elle est responsable. • Une peau basanée qui lui donne des airs d'amazone, se mariant parfaitement à ses longs cheveux d'ébène ainsi qu'à ses yeux hétéroclites, changeant au gré des températures. Parfois d'un gris d'acier, parfois d'un vert pastel presque irréel, parfois d'un gris océanique. Elle aborde un tatouage couvrant entièrement ses côtes du côté gauche, du côté du cœur pour cacher des cicatrices d'une démence d'autrefois. Ce sont en fait des formules magiques d'un livre de pyromancie qu'elle a eu l'honneur de lire pendant ses voyages, transcrites à l'envers et en russes, dissimulées dans le poème "The Raven" par Edgar Allan Poe.

 
Goûts
 
Les goûts de la belle se font tout aussi variés que disgracieux. Des mélodies classiques qu'elle se plaît à reproduire sur les touches d'ivoires d'un piano aussi vieux que le monde, jusqu'aux majestueuses couleurs des fleurs lupines. Une vieille âme qui se laisse séduire de par les pages jaunies d'un livre décomposés, aux langues éteintes ainsi qu'aux effluves d'une voluptueuse bouteille de vin qu'elle se délecte en écoutant les récits de ses aïeules. Elle possède également une impressionnante collection de poupée de porcelaine depuis sa tendre enfance, où figure également quelques ossements d'animaux divers qu'elle trouve en farfouillant les boisées. Une jeune femme aux passions lubriques et incongrues, qui pourtant se révolte devant les impolitesses et les mauvaises manières.

 
Rêves & Ambitions
 
Elle est ambitieuse la petite, elle est cupide et avide de tout ce dont elle ne possède pas. C’est donc dans les éternels conflits de ses songes qu’elle se nourrit de ses anxiétés pour trouver satisfaction de ses envies et jalousies. Elle rêvait de parcourir le monde et c’est ce qu’elle a fait. Elle rêvait de détenir l’empire des Raventhrone et c’est ce qu’elle a fait. Elle rêvait … elle a toujours rêvé. Le pouvoir est une chose qu’elle lorgne avec passion et déchirement. Si seulement elle pouvait détenir le savoir absolu dans une simple fiole, la jeune femme n’hésiterait pas à n’en vendre son âme.

Elle veut passer à l’histoire la Raventhrone. Elle veut entendre ses propres légendes, murmurées avec crainte et admiration jusque dans les tréfonds des enfers. C’est donc pourquoi elle projette d’obtenir le plus de diplômes possible dans l’enceinte de L’UPA dès septembre 2000. Pousser les limites de la sorcellerie pour en détenir une nouvelle forme dont les mérites lui seront attribués.


 

 
Histoire de votre personnage


Chronologie:

« Nous Sommes Frères. »

Des mots qui résonnent, des mots qui raisonnent. Et de ces maux, ils avaient caressé l’impossible. Et de ces mots, ils avaient bercé  les esprits les plus dociles et les plus naïfs. Comment avaient-ils simplement pu croire qu’une cohabitation pourrait perdurer jusqu’à la fin des temps, alors que la nature même de l’humain consistait à éliminer la concurrence. Parce qu’à trop chercher les démons, ils n’avaient jamais réalisé que la réelle quête qui les définirait en tant qu’hommes, était la neutralité. Et c’est ainsi que la plus ironique des forces de l’être subsistait, pour parfaire le portrait poétique et honorifique d’un chaos qu’ils avaient toujours instauré : s’unir dans l’adversité pour faire triompher l’injustice des statuts sociaux. Et dans leurs mensonges ils avaient toujours trouvé la justification qui pouvait les faire pleurer les pauvres âmes qui avaient malheureusement quitté ce monde sans rien demander. Parce que cette guerre était imminente. Parce que cette guerre leur était profitable.

Acculturation
Ethnocentrisme et ethnocide
Génocide.


Mais ils n’avaient pas peur. Parce que les sorciers avaient toujours été un peuple fort qui combattrait pour l’égalité et l’amnistie.

Mais il n’y avait rien à craindre. Parce qu’ils trouveraient un moyen de vivre dans l’harmonie sans brimer les droits d’autrui.  

Elle avait peur. Elle avait toujours craint.




« Que celui qui combat les monstres prenne garde dans sa guerre. À force de plonger trop longtemps votre regard dans l'abime, c'est l'abime qui entre en vous. »

Friedrich Nietzsche



L’union

Adrasteia est née d’une première union entre Konstantin Raventhrone ainsi que de Valeriya Von Lazar. S’il en résulte d’une association entre les deux familles pour favoriser l’accroissement des richesses respectives, il n’en reste pas moins qu’une bonne relation s’installe au sein du couple. Valeriya est une jeune femme au caractère délicat et aux attentions nombreuses, sa loyauté et sa persévérance sont d’autant plus récompensées de par l’attachement et la protection de son mari qui lui est reconnaissant d’autant s’investir malgré cette lacune affective aux premiers abords de leur relation. Ils passent les cinq premières années de leurs mariages à construire une base des plus solide pour ce qui est de cette famille qu’ils souhaitent établir sur les terres de la nouvellement nommée ; Raventhrone. On décide donc que la jeune femme s'occupera du domaine présentement établit en Russie et qu'elle devra également s'assurer des préparations de cette nouvelle maisonnée qui les accueillera en Grande-Bretagne une fois que le moment sera jugé opportun. Konstantin travaille d’arrache-pied et malgré son absence notable, Valeriya s’affaire à décorer leurs nouveaux domaines pour y instaurer une ambiance chaleureuse et respectable. S’il est peu coutume pour un couple d’attendre aussi longtemps avant de fonder une famille, ce n’est qu’à leur septième année d’union que la première héritière des Raventhrone annonce la prochaine génération. Dès lors, Konstantin se frayait un chemin au sein du marché européen, obtenant mérites et reconnaissance, imposant son esprit vif et ses réactions judicieuse au département de la Coopération Magique Internationale. Ses bonnes relations et ses nombreux associés en terre russes étant un atout particulièrement notable pour le Ministère de Grande-Bretagne. Il travaille fort et fait son possible pour se faire des plus présent à la fois en Russie qu'en Europe. Toutefois, la vie familiale semble dépérir alors que Valeriya se fait souffrante, ses nombreuses pertes de mémoire autrefois anodines, se font de plus en plus importantes. On y décèle des micros accidents vasculaires cérébraux répétitifs, ce qui vient largement poser problème pour l’éducation d’Adrasteia qui est alors âgée de deux ans. La jeune sœur de Valeriya vient donc porter son aide à sa sœur pour les tâches générales.

L’inclusion

Viktoriya Von Lazar est âgée de seize ans à l’époque, étant née cracmol, elle trouve un réconfort certain dans cette nouvelle tâche qui est sienne. Pour la première fois dans sa vie, la jeune femme se sent finalement utile et indispensable, prenant son rôle très au sérieux alors que sa sœur est de plus en plus confuse suite à sa condition. La vie au manoir semble reprendre son cours normal et Viktoriya démontre des qualités maternelles impressionnantes quant à sa filleule. Et si Konstantin est des plus affecté par la condition déplorable de sa femme, il faut dire qu’il semble porter un regard nouveau sur la sœur de celle-ci. Ses attentions et ses flatteries atténuent grossièrement les tentions négatives dû à l’étrange situation. Viktoriya s’impose et s’expose sous ses meilleurs attraits tandis que Valeriya se confine dans les tréfonds de ses nouveaux appartements, brillant d’une absence qui est dès plus profitable pour la cadette. Tout près de trois ans s’écoulent, et si Valeriya s’éloigne drastiquement de la réalité, Viktoriya quant à elle s’épanouie dans une vie digne d’un compte de fée. Konstantin chavire le temps d’un soir, créant une problématique inquiétante : Viktoriya est enceinte.

L’intrusion

La transition est drastique et le scandale est imminent. Toutefois, si les mauvaises langues pestiféraient depuis quelques temps déjà, la compréhension se fait présente sous les conditions précaires qui accablent la famille depuis quelques années déjà. On dit que Konstantin est un homme important, on dit que Konstantin est un homme avec un bel avenir et qu’il est tout-à-fait justifiable d’avoir trouvé l’amour dans les bras de cette femme qui se sacrifie corps et âmes pour tenir la maisonnée en place dans un esprit de loyauté familiale. Au fond, c’est Valeriya qui n’arrive pas à satisfaire les importantes charges d’une femme de l’aristocratie, au fond, c’est Valeriya qui n’est pas suffisante pour un homme aussi prometteur qu’est le Raventhrone. Sa seule et unique erreur étant d’avoir tombé pour cette fillette aux pouvoirs latents, mais, ce pauvre Konstantin ne pouvait faire autrement que d’éprouver des sentiments pour cette jeune femme qui prenait aussi bien soins de sa filleule. Et pendant que le monde chavire sous les impactes sociaux d’un secret mis dans l’arène, la famille Raventhrone profite pour faire profile bas. Le mariage est pressant, l’union est pressée, et l’arrivée des jumeaux est plus qu’éminente. C’est donc en 1982 que Viktoriya donne naissance à deux magnifiques poupons qui font chavirer les cœurs de par leurs boucles dorées et leurs peaux de lait. Konstantin obtient finalement ses valeureux héritiers qui protègent sa succession et se laisse emporter la fierté, délaissant progressivement sa femme qui sombre doucement dans une démence aux complications médicales importantes. La tension monte chez le peuple sorcier et lorsque la nouvelle se répand, la famille n'hésite pas à quitter l'Europe de l'Est suite aux radiations qui les menacent. Une fois la famille installée dans cette demeure méticuleusement préparé par la Valeriya, celle-ci est immédiatement transférée en soins intensifs pour une durée de deux ans, les médicomages arrivant finalement à stabiliser son état grâce aux avancées de la nouvelle médecine magique, combinée à celle moldue. Elle réintègre le manoir Raventhrone pour le neuvième anniversaire d’Adrasteia avec une lucidité surprenante. Elle réalise alors l’ampleur des changements qui ont obtempérés durant les dernières années et sombre rapidement dans une dépression. Elle ne quitte alors plus ses appartements, développant une relation assez obsessionnelle avec sa fille et adopte un comportement très agressif vers les jumeaux âgés seulement de six ans. La tension est vive et divise concrètement le domaine en deux parties, Adrasteia peinant à trouver sa place parmi la nouvelle famille de son père passe donc les deux dernières années aux côtés de sa mère avant de quitter pour intégrer Poudlard. Les discours de Valeriya sont hargneux et répétitifs, incitant la jeune préadolescente à se laisser enveloppé par la haine et la jalousie qu’elles ressentent chacune à leurs façons, sans compter les accusations aux détails lugubre que Valeryia n’hésite pas à projeter sur le patriarche. Elle explique chaque jours les horreurs qui lui ont été perpétrer dans cette institution que Konstantin avait soigneusement désignée pour ses avancés spectaculaire grâce aux technologies moldues. La jeune Adrasteia passe le plus claire de ses nuits cachée dans la penderie à écouter les cris de sa mère lors de terreurs nocturne, divaguant sur des expérimentations secrètes par la main de sans-magie. La cohabitation est explosive mais surtout toxique, s’intensifiant chaque fois qu’Adrasteia revient pour passer les vacances estivales, ne réalisant toutefois pas que les conditions médicales de Valeriya ont dépéris. Elle n’adressera plus la parole à son père jusqu’à ses quinze ans, déployant toute son amertume sur sa nouvelle et parfaite famille lorsqu’ils prennent la décision de se décharger de Valeriya, dont les AVC se font à nouveaux répétitifs. Dès lors, la jeune Raventhrone prend la décision de rejoindre son oncle Laurentius pendant les congés scolaires, prétextant vouloir consacrer toute son attention sur l’apprentissage des traditions de sa famille. On lui impose tout de même la charge de guider les jumeaux pendant les périodes scolaires en lui indiquant qu’il est de son ressort de s’assurer qu’ils soient des héritiers aussi parfait que possible, ce qu’elle accepte avec beaucoup d’amertume. Évidemment, la jeune Adrasteia blâme sans relâche Septimus et Octavius d’être la cause des problèmes familiaux et instaure une éducation aux tendances dictatrices et dénuée d’affections. Ce n’est qu’à sa dernière année qu’elle ressent un sentiment de fierté pour ses demi-frères, constatant les résultats époustouflants de leurs B.U.S.E. Confuse, elle s’échappe de Poudlard pour se rendre à Sainte-Mangouste à la recherche de réponses quant à son sentiment de trahison. Elle se retrouve toutefois devant une Valeriya des plus démentes qui l’attaque sans réaliser qu’il s’agît de sa propre fille. Adrasteia s’exile sous l’intensité d’une crise d’angoisse et n’est retrouvée que deux jours plus tard à la lisière de la forêt interdite.

L’exclusion

La tension est vive mais parfaitement dissimulée sous les réjouissances de l’obtention de son diplôme. Konstantin a des projets, Konstantin a des plans … et ce n’est que lors d’une réception organisée par sa famille pour célébrer la graduation des jeunes sorciers de sa cohorte qu’il lui dévoile la bonne nouvelle : D’ici trois semaines, elle épouserait l’un de ses plus loyaux collaborateur. Elle est sur le qui-vive, voyant ses rêves et ses idéaux se détruire devant ses yeux, la jeune Raventhrone décide de prendre son avenir et son courage à deux mains pour demander à son amour d’enfance de l’épouser. Une dispute éclate sous son refus d’aller à l’encontre des décisions de ses parents. Le Karkaroff est déjà lui-même investi dans des fiançailles et ne peut donc pas répondre à ses aveux. Adrasteia se sent rapidement perdre le pied et fuit pour une seconde fois en deux mois, cette fois étant la bonne. C’est donc la peur au ventre qu’elle s’exile en Amérique du Nord, faisant pour la première fois face au délire dont elle avait toujours été protégée depuis le début de cette histoire. Terrée dans des sous-sols décrépits, Adrasteia peine à trouver la force d’affronter un monde dont elle a toujours reçut l’ordre d’éviter. Ils sont vils, ils sont mesquins, mais pire encore … ils sont aussi curieux qu’effrayés. Elle se remémore facilement les paroles de sa mère quant aux douleurs qu’ils lui ont fait subir et ça … c’est beaucoup trop pour une jeune femme aussi anxieuse. Elle fait toutefois la rencontre de sorciers aux histoires décadentes, qu’ils lui racontent entre deux verres de whisky-pur-feu. On lui explique, qu’il y a quelque part, des sorciers talentueux aux magies complexes et audacieuses. On lui miroite, qu’il y a quelque part, des mages ombrageux qui poussent les connaissances actuelles pour retrouver le fondement même des premiers ensorceleurs. Leurs légendes sont si poignante qu’elle se décide enfin à les voir de ses propres yeux et parcours le monde pendant deux longues années à la recherche de ces sorciers aux connaissances bravant les limites de la sagesse.    




Décembre 1999
Adrasteia : 21 ans / Septimus & Octavius : 17 ans

Ses yeux relisaient pour la millième fois cette missive qu’elle avait reçut quelques jours plutôt. Elle restait de marbre, cette flegmatique jeune femme aux plûmes d’ébène qui ressemblait de plus en plus à cette mère qui pourrissait dans une chambre aux décors d’un blanc épuré. Elle se faisait violence, simplement parce qu’il n’était pas le temps de se laisser aller à ses émotions. Elle avait peur, elle avait toujours eu peur, ses yeux fixant l’encre qui se détaillait en de fines lettres sur le parchemin.

C’est avec le plus grand regret que je t’écris ces mots, ma chère enfant. Je sais parfaitement que la situation avec ton père n’a jamais été des plus faciles, mais j’espère sincèrement que tu trouveras la force de mettre de coté vos querelles en ce sombre jour. Konstantin et Viktoriya ont malheureusement été retrouvés sans vie la nuit dernière. Sans trop pouvoir m’avancer dans les détails, la supposition d’un meurtre semble être une piste. Si tu le souhaites, je peux t’accompagner à la cérémonie pour l’enterrement de ton père, je t’attendrai à ma demeure dès demain. Saches, ma chère et précieuse Adrasteia, que je te supporterai quoi qu’il arrive.

Je t’embrasse affectueusement dans l’espoir de voir ton doux visage prochainement,

Laurentius Cyprian Raventhrone



La brune hocha sa tête, froissant la missive entre ses mains avant de la jeter contre le sol, une main se posant chaleureusement contre sa cuisse. Elle observa l’homme qui se tenait droit dans toute sa puissance, le remerciant silencieusement en entre lassant ses doigts aux siens. Il avait toujours été présent, toujours été pertinent. Beaucoup plus un père qu’un parrain, toujours plus un père qu’un oncle. Et s’il l’avait toujours supporté avec obstination devant ses paires, il n’avait jamais hésité à lui pointer ses fautes et ses erreurs avec sagacité. Simplement parce qu’il reconnaissait ses capacités et n’acceptait pas l’injustice qui l’avait poursuivit toute sa vie. Sa nièce était forte, sa nièce était ambitieuse et elle ne se résumerait pas à diriger un manoir pour payer le prix des déloyautés de son père. C’est pourquoi il l’avait soutenu lorsqu’elle avait quitté les terres de la Grande-Bretagne. C’est pourquoi il avait subvenue à ses dépenses lorsqu’elle avait prit la fuite lorsqu’ils avaient tenté de lui glisser la bague au doigt. Deux ans à parcourir le monde. Deux ans à examiner tout ce que la terre pouvait lui offrir pour assouvir cette soif de connaissance qui l’avait toujours animée. Deux ans à frémir de cette réalité qui confondait les sorciers aux moldus dont elle avait toujours été protégée. Et pourtant elle ne regrettait rien, ni la solitude, ni l’impuissance qui l’avaient accompagnées tout au long de son périple. Au fond, rien ne pouvait égaler cette puissance qu’elle avait trouvée en découvrant l’étendue de cette magie qui définissait sa raison d’être. Elle apprendrait, jusqu’à son dernier souffle elle apprendrait cette nouvelle magie qui avait consumé avec convoitise la plus délicate de ses cellules, en dansant voluptueusement de ses flammes lucifériennes. La pression sur ses doigts se fit soudainement plus présente, sortant la brune de ses songes. Un homme lui demanda de venir prendre place dans la salle, refermant la porte derrière eux avec discrétion. Un silence lourd se fit empereur de la pièce, ses demi-frères l’observant avec stupéfaction, sans comprendre la moindre chose. « Septimus, Octavius. » avait-elle calmement saluée d’une voix chaleureuse. Septimus se redressa, fronçant les sourcils avec méfiance quant à l’absurdité de la situation. Octavius quant à lui, lui retourna sa salutation avec courtoisie, démontrant toute sa sagesse. Il avait toujours été son préféré. Parce qu’il ne ressemblait en rien à son père. Parce qu’il avait toujours accepté cette haine qu’elle leur vouait en lui donnant raison. Ils vinrent prendre place à la table, immobile et statuaire tandis que le notaire déposait les derniers dossiers devant lui, débutant la lecture du testament. À sa plus grande surprise, son père ne l’avait pas renié, ni elle, ni sa mère, s’assurant qu’une somme soit versée chaque mois pour payer les frais de ses soins. Une pointe de honte vint se planter vivement sur son cœur qu’elle chassa rapidement en reportant son attention sur le notaire. « Maintenant, pour ce qui est de la succession de l’UkRa … Monsieur Raventhrone léguait l’entièreté des droits aux noms de Septimus et Octavius. Toutefois, comme vous êtes toujours aux études, votre père avait désigné votre oncle Cyrillus comme successeur datif pour diriger la compagnie si une situation comme celle-ci se présentait- » - « Attendez une seconde … pourquoi avez-vous employé le terme ‘’ léguait’’ ? » avait grossièrement coupé Septimus. Son frère leva une main à son encontre, lui intimant silencieusement de se calmer.

L’homme se raclait maladroitement la gorge, baissant les yeux pour regarder tous les documents qu’il avait sous les yeux.  « Parce que cette clause entre en conflit avec des papiers que possédait monsieur Laurentius. » - Il nota une pause, poussant un soupire exprimant sa désolation mais également son impuissance. « Il se trouve que nombreuses familles s’adonnent à des alliances pour en tirer un quelconque avantage. Lorsqu’ils officialisent l’alliance, certaines familles sont assez futées pour introduire des conditions, comme ce fut le cas pour vos grands-parents. De ce fait, le contrat concernant le mariage entre votre père et la mère d’Adrasteia comportait une close contraignante à un divorce. Si Konstantin était l’instigateur d’un divorce, la totalité de ses avoirs concernant l’UkRa se partagerait avec les enfants qu’il aurait avec Madame Valeriya von Lazar. Puisque Mademoiselle Raventhrone est la seule descendante de cette lignée, elle est donc la seule à profiter de cet héritage. Malheureusement, même si le testament de votre père est parfaitement en règle, ses dernières volontés ne peuvent pas outrepasser cet accord. Je ne peux rien y faire. » Le silence s’imposa une nouvelle fois, Septimus se laissant lentement avaler par la chaise dans laquelle il prenait place, son visage se décomposant alors qu’il comprenait finalement la réelle raison de la présence de sa sœur et son oncle. Son poing se frappa violemment contre la table, pestant sa colère contre l’idiotie de son père. L’homme se tourna vers elle, faisant abstraction du comportement irascible de Septimus. « J’aimerais que l’on règle immédiatement cette partie si vous le voulez bien ? »

Adrasteia hocha calmement la tête, inspirant longuement pour se donner la force de prendre la parole. Elle, la peste à la langue acerbe qui avait passé un peu plus de deux décennies à survivre par la peur. Elle, la reine sans peuple qui avait passé sa vie à se consumer sous ses craintes, était maintenant celle qui détenait ce pouvoir qu’elle avait jalousé. Le dos droit et la tête haute, elle avait sourit furtivement à son oncle avant de prendre la parole.  « J’accepte l’héritage qui me revient de droit … et je vous suis reconnaissante pour toutes ces années de loyauté avec mon père, qui n’était certes pas un homme facile à suivre. Toutefois, il m’est présentement impossible d’assurer mes responsabilités puisque je compte intégrer l’UPA en septembre prochain. C’est pourquoi j’aimerais désigner Laurencius, ici présent, comme successeur datif. Mon oncle travaille depuis aussi longtemps que Konstantin et a fait à nombreuse reprises ses preuves quant à ses qualités pour diriger la compagnie en l’absence de mon père lorsqu’il élargissait son territoire. J’aimerais le remercier pour toute sa dévotion ainsi que son soutient … par conséquent il restera le dirigeant officiel de l’UkRa jusqu’à ce qu’il en décide autrement. Quant à Septimus et Octavius, j’aimerais offrir une proposition qui je pense être juste. Puisqu’ils ne sont pas volontairement responsable de toute cette situation qui les importune, j’aimerais leurs offrir une place pour siéger à la direction de l’UkRa. Bien entendu, cette fleur est offerte sous certaines conditions. Par conséquent, ils devront obtenir leurs diplômes à Poudlard, mais également poursuivre et compléter des études supérieures à l’UPA en septembre prochain. Ces diplômes devront évidemment être pertinents pour l’UkRa et j’en vérifierai moi-même leurs parcours scolaire. Cyrillus s’occupera par la suite de leur apprendre tout ce qui est nécessaire quant à la direction de la compagnie. Quant à moi, j’assisterai Laurentius au niveau des relations et des développements, dès février jusqu’à septembre. Nous verrons la suite à ce moment là. Je vous remercie monsieur pour votre patience, mais je suis actuellement attendue ailleurs. » avait-elle déclaré, se redressant automatiquement pour quitter la table, accompagné de son oncle. Elle s’enfonça dans le couloir, faisant fi des insultes que lui lançait Septimus même après avoir refermé la porte de la salle. La brune se laissa reposer contre le mur, soupirant avec soulagement tandis que son oncle déposait un tendre baiser contre son front. « Tu étais parfaite. Je suis fier de tes décisions et de tes choix Adrasteia. C’était la bonne chose à faire. » avait-il murmuré avant de lui faire un signe de la tête, l’intimant à le suivre. « Allez, partons, ce n’est pas encore terminé. »



 

 
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyMer 28 Déc - 13:50

T'es pas game de lire.:
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyJeu 29 Déc - 13:08

Adraaaa déesse Pineapple
Bienvenuuuuuuue ! Coeur
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyJeu 29 Déc - 16:00

Adraaasteia la bella Coeur
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyJeu 29 Déc - 18:41

Comment voulez vous que je retienne mes feelz.

Lorsque nous serons validées:

Notre premier parallèle ship:

Ces petits mots doux:

Notre humour si tordant:

Ces plot twist qui twist my mind:

Cette transcendance inoubliable:

Ladécadence absolue du début à la fin:

Que ferait Drama-Stan-Queen sans toi:

Tout c'qui m'plaît chez toi ma queen:

Et ces supers soirées passées à... et bien...:

Je n'ai rien à ajouter à ceci:

La meilleure excuse que nous ayons à fournir lorsqu'on rentre tard:

Dès que tu as une (bonne) idée:

Parce que t'es pas comme les autres ♥:

Enfin, pour résumer...:
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyVen 30 Déc - 1:00

omg c'est un vrai wiki cette fiche, truc de fou Omg
Rebienvenue Adra Coeur
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyDim 1 Jan - 16:48

Merci beaucoup à vous tous ;O; jevousaime.


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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle EmptyMar 3 Jan - 15:05

Bienvenue, cher habitant !

Tu es dès à présent validé, le jeu se trouve désormais à portée de main !

Il te reste néanmoins quelques formalités importantes à finaliser afin de te garantir une évolution sans accroc dans l’univers de Catharsis.
Tout d’abord, pense à aller réserver ton avatar dans le bottin, à compléter le recensement de Catharsis et à signaler ton nouveau personnage dans registre des comptes multiples si nécessaire. Il est aussi utile de te créer un journal de bord pour garder le fil de tes aventures, ainsi qu’une fiche de liens pour décrire tes relations avec les autres.
Enfin, une boîte aux lettres permettra de te contacter facilement IRP, et une demande de logement signalera ton arrivée à tes voisins ! Enfin, il est utile de faire référencer ton activité professionnelle dans le registre des métiers, où tu pourras également proposer des jobs aux étudiants si tu as besoin de petites mains.

Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle   Adrasteia N. Raventhrone x I'm headed straight for the castle Empty

 
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